Un cadre préservé

C’est dans un cadre préservé de toute source de pollution, au milieu de la forêt de chênes blancs et verts, que s’effectue la majorité des cueillettes sauvages (thym, genévrier, carotte sauvage…). Il s’agit d’une zone calcaire qui offre de ce fait une très grande diversité pour sa flore sauvage. Les terrasses, laissées longtemps à l’abandon, sont petit à petit réhabilitées pour y accueillir des cultures de basilic, de menthe poivrée, de mélisse, d’hysope ou de rosiers de Damas.

Les cultures, les cueillettes et leurs produits transformés sont certifiés en agriculture biologique.

Une gestion des ressources naturelles

Une attention particulière est portée sur la gestion des ressources du lieu.

L’irrigation est menée tant que possible par goutte-à-goutte et les bandes de terrains laissées vides sont recouvertes de broyat pour limiter l’évaporation ; le refroidissement de l’alambic fonctionne en circuit fermé ; l’eau de pluie du hangar est utilisée pour ce refroidissement ou pour une partie de l’irrigation.

L’alambic fonctionne avec du bois issu des forêts situées sur la ferme ; le bois résultant du nettoyage des terrains est broyé pour ses parties les plus petites et est épandu entre les parties cultivées.

La cueillette des plantes sauvages se fait de telle sorte à préserver la ressource année après année, les plantes ne sont jamais totalement cueillies et toutes les zones ne sont pas prélevées chaque année.